Alix dans son landeau
Yeux grands ouverts, quel changement.
Trés attirée par l’agitation bruyante de son frére.
Samedi 16/11/18
Il fait beau ( lumiére solaire dans un beau ciel bleu \240dégagé) finalement je décide de prendre le petit déjeuner dans l’hôtel au rez de chaussé. J’y suis quasiment seul et je prend plaisir à être là. Je décide de me concentrer sur cette journée pour la vivre pleinement. Je pars à pied vers la place de la Victoire, remontant ce vieux cours de la Marne remplit de cette population hétéroclite et polyglotte. Le but est d’aller chercher dans une papeterie un agenda pour mon amour.Et pourquoi pas dans cette lumière claire et froide, essayer de ressentir cette ville d’être connecter avec soi même. Finalement la papeterie étant devenue une banque je me dirige vers Mollat l’institution du livre dan Bordeaux. Au passage je passe chez TOC pour n’y rien chercher mais finalement j’y achéte un petit appareil à fondue...c’est assez incroyable tout ce que l’on peut trouver pour la cuisine dans ce magasin. Arrivé chez Mollat, je suis envahit par la « fiévre » du livre. Ayant terminé mon japonais et en ayant commencé un autre je resiste à cette envie d’en acheter encore un autre. Malin je décide de remplir mon panier avec des livres pour Robin, puis un pour Gwenaël : le livre de Michelle Obama, puis... un autre pour Juliane : le dernier bouquin de Juppè sur la ville de Bordeaux. Ouf enfin j’en ressors, il est midi trente. Tram jusqu’à la Victoire puis Bus jusqu’au boulevard, me voilà barriere de Toulouse. Puis trés vite chez ma fille. Robin a mangé, quant à Alix elle trône dans son cosy au centre de la pièce. Evidemment la conversation tourne à nouveau sur le travail d’Arcachon, mais aussi de Morgan et de mon voyage au Canada.Nous décidons de partir pour la ville, c’est reparti la marche à pied , le bus , pousser la trotinette... Nous voilà rue Porte Dijeau puis rapidement dans le nouveau quartier proche de la rue Castillon. Shopping, visite de Jouet club, goûter sur la place au pigeon blanc uni-jambiste, et ce chien jaune et grand qui aboie et qui a mal à son oreille droite. Difficile à supporter. Du monde, beaucoup de monde c’est samedi, la lumière tombe et le froid vient avec. Tout d’un coup je ressens cette fatigue que je connais bien et qui m’accompagne maintenant depuis plusieurs années. Nous allons nous arreter au Bar de la Porte :
Nous rentrerons ensuite à son appartement aprés un long trajet en bus. Gwenaël sera obligé de nourir sa fille durant le trajet.
C’est l’heure des bains avant d’aller retrouver ma soeur et Pierre. Pierre Clément rentre de sa journée de surf. Dans ses mains un sac plein de cèpes des pins. Gros et jaunes, il est heureux comme un enfant qui aurait trouvé un trésor. Avant de partir il lui faudra impérativement les lavers et cuire.
Nous nous retrouvons dans un restaurant de Begles où Gwenaël et PC semblent avoir leurs habitudes. Immense hangar bruyant, éclairé violement d’une lumière blanche, on se croirait dans une ambiance américaine. Ma soeur est heureuse de me retrouver. Elle nous parlera longuement de son repas au Grand Théatre, ils vont franchement mieux depuis quelques mois.
Alix a évidement beaucoup de succés. Surtout avec son foulard de cow-girl.
La soirée s’écoule autour de plats pas trés bons, d’un vin bio infâme... mais la soirée est un réel plaisir avec des échanges chaleureux. La vie en quelque sorte.
Un Robin pas génant jouant ou regardant ses films sur le téléphone de sa mère.
Quant à Alix, elle reste éveillée toute la soirée aprés il faut le dire avoir dormi toute l’aprés midi.
Je rentre me coucher dans mon hotel cours de la Marne, heureux de m’allonger!
Dimanche \24018/11/18
Reveil à 9h00, il fait beau, ciel bleu. De derriere ma fenêtre je devine le froid extérieur. Petit déjeuner dans une salle plus remplie que la veille, je range mes affaires, je suis un peu fatigué dans mon corps. J’aurais besoin de strecher mon corps. Mais il faut partir, je tente le bus en me rendant à l’arrêt tout près de l’hotel. Cette rue me replonge dans mon séjour à Bordeaux du mois de juin pour le BAC de Morgan.
La belle maison bordelaise
Les grues crient leur départ pour l’Afrique à qui veut bien l’entendre.
Un bus arrive très vite et en trés peu de temps me voilà chez ma fille. Entretemps j’ai croisé dans le bus une splendide femelle pitbul. Je passe chez le fleuriste récupéré un pett bouquet.
Alix m’accueille, au centre du salon dans son fauteuil : robe et collant avec petite veste tricotée main ( par qui?).
Préparation des cépes, ti punch avec un rhum de SXM, bien servi qui m’endort apres le repas.
Préparation des cépes, ti punch avec un rhum de SXM, bien servi qui m’endort aprés le repas.
PC nous quitte pour aller jouer à la pala dans un trinquet à Pessac. Il reconnait lui même que le cèpe de pin c’est moyen...
Je reste jouer avec mon bandit de Robin
Le play mobile de l’Antatartique acheter la veille à Jouet Club.
Sans oublier les Kinder achetés à midi.
A 16 heures il est temps de partir pour l’aéroport, le sujet de conversation qui aura dominé le week end aura été le nouveau poste de travail à Arcachon. PC est trés enthousiaste à ce changement, ma fille plus angoissée.
Me revoilà à nouveau dans un avion, évidemment je m’endors.
Arrivé à Orly je suis désorienté ne sachant pas oú se trouve l’hôtel. Heureusement Googlemap va me guider.
Je trouve finalement l’hôtel, chambre avec vue sur la piste, fenetre qui ne ferme pas. Je mange au resto de l’hôtel d’à côté. Je suis content car j’ai été présent dans ces deux jours à Bordeaux, je trouve que les échanges ont été de qualités. Je suis fatigué du voyage.
Lundi 12/11/18
Réveil à six heures aprés une nuit avec plusieurs reveils en particulier à cause de la fenetre qui ne se ferme pas et des bruits de la route qui remontent dans la chambre.
Vue de ma chambre d’hôtel.
Petit déjeuner, douche je suis prêt à partir pour Paris. Je traverse à nouveau ce grand corridor au dessus des routes d’Orly Sud.
Je connais le chemin pour aller jusqu’à la Bastille. Une grosse heure pour m’y rendre, dehors il fait froid, dessous aussi. Une marée humaine surtout a Chatelet, une horde qui marche vite, casquée d’écouteurs. Il ne faut pas que je me concentre trop là dessus mais aussi que je ne me laisse pas emporter par ce rythme rapide qui n’est pas le mien.
Sortie place de la Bastille, juste au dessus l’opéra Garnier. Le froid pique.
Trés vite en marchant je trouve ce passage que je cherche entre la rue de Charenton et la rue Saint Antoine. Juste en face du 15/20.
J’arrive parmi les premiers chez Epiconcept. Ils me mettent à l’aise rapidement. Le groupe se constitue. La journée s’écoule assez rapidement. L’intérêt est moyen mais je suis content d’être là. En allant mangé au restorant en face du liue de formation ( carrément glauque par ailleurs), je repére uen librairie. Je m’y rends en sortant, la nuit est en train de tomber. Immense librairie qui n’a rien à voir avec Mollat de Bx. J’aime cette visite et cette rencontre avec ce lieu. D’ailleurs j’y achéte deux livres un pour moi et un pour Benjamin.
Je rentre dans l’autre sens vers Orly Sud. Mais à la station Chatelet c’est une foule énorme qui m’attend pour prendre le RER B. Le retour pour Antonny, dur dur. Heureusement que je ne m’étais pas invité chez Sylvie.
Dans le hall d’Orly je m’achéte une sandwich et une biére car ce soir c’est soirée au lit, lecture et calme... j’en rêve et je sens que j’ai besoin de temps pour me recentrer et me retrouver. Avant ce retour à SXM. Ça va me faire du bien.
Mardi 20/11/18
Retour vers Orly Ouest pour la Guadeloupe.
Tout se passe trés vite et facilement. Orly une ville dans la ville, toujours en chantier. Quand je la regarde de haut parfois j’ai l’impression de regarder une scène faite de Play-Mobil.
Il fait froid, ils sont obliés de dégelé les ailes des avion avant leur envol.
Finalement j’embarque pour un voyage qui ne sera pas si difficile à supporter que cela.
Il neige!! Heureusement le casque me soulage du bruit de l’avion. En arrivant en Guadeloupe du personnel au sol nous transfert directement vers les départs régionaux. Le voyage touche à sa fin.
Arrivée à Grand Case, retour à pied par la route vers l’appartement.
C’est un voyage éclair qui s’achéve plein d’émotion. Qu’en restera t’il?